Guide : Pourquoi placer son argent en assurance vie ?
Mettre un guide financier en place pour aider certaines personnes en ce qui concerne l’assurance-vie d’autant plus que ce sujet a été mis sur la table plusieurs fois. Ce qu’il faut savoir est que, l’assurance-vie demeure l’ultime placement de tous les français avec mille trois cent milliards d’euros investis. Dès lors, se pose la question suivante : N’y a-t-il pas des moyens efficaces à utiliser pour mieux optimiser son placement et accroître son capital ? Dans notre guide, nous allons vous faire redécouvrir certaines astuces déjà utilisées mais sous une autre forme qui, pour nous, seront les bienvenues pour vous aider à bien utiliser votre contrat.
Qu’est-ce qu’une assurance-vie ?
L’assurance-vie est une enveloppe dans laquelle vous allez pouvoir mettre à peu près tout ce que vous voulez en termes de produit, qu’il soit financier ou immobilier. Vous pouvez y ajouter vos dettes de l’état, les fonds euros, vos obligations risquées où pas, vos paniers d’actions, une devise, quelques matières premières, votre immobilier en pierre-papier, des fonds thématiques. En bref, vous pouvez mettre ce que vous voulez en fonction de vos objectifs de performance et de votre capacité à accepter le risque. Aussi, dès que votre sélection est faite et mise sur tous les supports pour l’enveloppe ne laissez pas cette enveloppe dorée avec vous et ne perdez pas le temps. Ce qui veut dire qu’il va falloir que vous suiviez, que vous gériez et arbitrer votre contrat au gré des évolutions de marché. Pour cela, comment devez-vous faire ? Il est possible, de vous en occuper par le canal de l’internet si vous avez par exemple du temps et que vous êtes libre ou si vous avez un profil d’investisseur en finance et que vous êtes puissant, vous pouvez confier la gestion à un professionnel. Mais faites beaucoup attention à n’importe qui. Évitez de confier votre argent à un établissement qui n’aurait qu’un contrat maison, avec des fonds maison à vous proposer. Privilégiez plutôt un professionnel indépendant qui est en mesure de vous donner accès à un large choix, voire même, aux meilleurs contrats du marché, tant qu’à faire. L’assurance vie est également un moyen intelligent de transmettre à ses enfants, en cas de décès, puisque chaque parent peut donner jusqu’à 152 500 euros par enfant sans payer de droit de succession.
Est-ce qu’il y a des risques dans l’assurance-vie ?
En fait, c’est vous qui déterminez le niveau de risque de votre contrat. C’est ce qui rend la chose plus géniale ! Si vous n’avez pas envie de prendre des risques, vous pouvez choisir un contrat à 100 % d’investissement en fonds euros qui pourra rien vous rapporter cependant si vous ne pouvez pas gagner de l’argent vous n’allez pas perdre de l’argent non plus de manière théorique. Théoriquement parlant parce qu’une garantie ne concerne que la personne de laquelle celle-ci vient. En d’autres termes, vous avez la possibilité de monter votre contrat à votre convenance afin de connaître le niveau de risque auquel vous êtes exposé. De plus, avec la nouvelle règle, connaître son niveau de risque est encore plus simplifié pour une bonne compréhension parce qu’elle est échelonnée et ce de un à sept. Vous avez ouï dire que l’assurance vie est bloquée pour une durée de huit ans ce n’est quasiment pas vrai. Telle l’ouverture de votre contrat d’assurance-vie est faite par vous-même, ainsi vous pouvez le refermer comme vous le voulez et ce le jour où vous le voulez. En gros ce que vous devez retenir, c’est que si vous avez ouvert une assurance-vie peu importe votre niveau de placement que ce soit il est fait à moyen ou à long terme pour une durée de six ans au moins.
Combien peut coûter une assurance-vie ?
Le contrat d’assurance-vie comporte trois types de frais que vous devez supporter. Pensez à supporter d’emblée, les frais d’entrée concernant vos différents versements en fonds euros qui sont effectués pendant que vous souscrivez au contrat d’assurance vie. Ce sont des fonds qui varient dans l’ordre de zéro à cinq pourcent. Habituellement, si vous y entrez avec 0 % vous aurez de manière automatique un retour sur vos contrats en ligne sans retard. Par ailleurs, le conseiller en assurance-vie ne gagne pratiquement rien, cependant, si vous avez besoin d’être suivi, d’être conseillé, vous avez besoin de l’expertise, de réactivité, de pertinence, de gestion, ainsi les frais d’entrée ne feront que monter. Ensuite, il y a les frais de gestion qui quant à eux se trouvent entre 0,6 % et 1 % servant à la rémunération de la banque ou de l’assureur afin qu’il puisse suivre votre contrat sur le plan de la justice, l’administration, de la fiscalité assurance-vie de votre contrat. Si vous décidez de la gestion de votre contrat par un conseiller en finance ou en patrimoine, ce dernier devra recevoir une partie de vos frais en guise de rémunération de son travail. Pour finir, nous avons les frais d’arbitrage qui sont le fait de changer votre position sur le contrat cela explique que vous vendez votre position pour la remplacer par une autre position plus intéressante. Sachez que ces frais d’arbitrage changent en fonction des contrats car chez certains ce contrat est acquis gratuitement par année c’est-à-dire vous pourrez compter entre 0,5 et 1 % des sommes qui ont été arbitrées avec un plafond.
Les orientations pour un bon choix de contrat assurance vie
Si depuis un bon moment vous vous posez les questions de savoir comment vous pouvez bien choisir votre assurance. Il convient pour vous de comprendre comment ce contrat fonctionne et quels sont les moyens que vous mettrez en place pour sa gestion, sa dynamisation et son suivi. Si d’aventure, le temps vous manque et que vous n’en avez aucune idée, aussi en ce qui concerne les marchés financiers, ce n’est tout de même pas un problème, voyez un expert du domaine pour la gestion de votre contrat. Le meilleur contrat n’est obligatoirement pas celui que vous octroie votre banque ou votre assureur. Pensez à souscrire votre contrat avec un assureur indépendant qui lui a un accès large à des solutions éventuelles. Avec l’assureur indépendant vous aurez un bon rendement assurance-vie qui vous permettra d’avoir le sourire aux lèvres.
Pour votre contrat assurance-vie, choisissez le bon mode de gestion
Concernant le mode de gestion, que ce soit une gestion libre ou une gestion déléguée au cas où vous n’avez pas une somme conséquente pour investir. Dans le cas contraire, si vous avez une forte somme sur vous à investir vous n’aurez pas besoin de mandater quelqu’un pour gérer votre contrat. Soyez-en sûr c’est une procédure qui coûte vraiment cher mais avec un résultat de fin loin de vous satisfaire. Cependant, si votre contrat est bien suivi, même lorsque c’est en une gestion libre, il est considérablement efficace. Une anecdote: l’assurance-vie est telle une cuisine il vous faut des ingrédients de qualité qui la composent et le tour est joué.
Comment pouvez-vous ouvrir votre assurance vie et avec quel assureur ?
Allez-vous l’ouvrir en ligne ou dans une gestion libre avec un professionnel indépendant ? Avec votre banquier ? Autant de questions qui trouveront leurs réponses dans ce paragraphe. En fait, choisir votre contrat dépendra de façon claire de ce à quoi vous vous attendez et en fonction de ce que vous avez comme besoins. Si vous aimez mettre de l’argent de côté, suivre les actualités, vous aimez bien gérer vous-même vos affaires, si vous êtes quelqu’un qui a parfois le temps, ce serait tout à fait claire que votre choix serait le 100 % en ligne. Si d’aventure vous faites partie des 90 % de français qui ont le droit à l’assurance-vie, et que vous ne connaissez pas le marché financier tout comme la majorité d’entre eux, il serait mieux pour vous de confier la gestion de votre contrat à un professionnel indépendant. De ce fait, soyez sûr que l’allocation du contrat soit adaptée à votre profil d’investisseur et non pas aux objectifs du Monsieur en face. Également, soyez sûr que le professionnel que vous aurez choisi, sache effectivement de quoi il parle. Soyez sûr que les supports que vous avez sélectionnés sont d’une objectivité sans faille.
Quelles sont les obligations d’information de l’assurance-vie ?
Si vous êtes amenés à parler d’assurance-vie avec un professionnel, ce dernier sera tenu de vous mettre à disposition et de vous présenter un certain nombre de documents d’informations clés. Ce sont :
Le questionnaire de risque
Permet aux experts la construction un avantage espèce allant de pair avec votre besoin. Pour que vous ayez une bonne assurance-vie vous devez faire connaître votre profil d’investisseur de façon intégrale. Ensuite, les conditions générales du contrat dans lesquelles sont notamment précisés, les frais de gestion, les frais d’arbitrage, etc… Ensuite, le DIC signifiant le document clé qui regroupe toutes les infos. Il convient de vous rappeler que le contrat d’assurance-vie n’est pas bloqué et vous pouvez y avoir accès à tout moment. Et il vous est possible d’avoir autant d’assurance-vie que vous voulez.
La part de l’assureur
L’assureur est la personne qui vous donne l’information de façon régulière en ce qui concerne votre contrat en cours. Ceci dit, selon le montant de votre contrat, s’il est au-dessus de deux milles euros, dans ce cas l’assureur a le devoir de vous adresser conformément à votre situation un relevé. Aussi, sachez que c’est un mécanisme qui est mis en place tout au long de votre contrat d’assurance-vie. A l’inverse, si votre montant de cotisation est en dessous de deux milles euros, vous devez aller chercher les informations auprès de votre assureur.
Votre part
En tant que l’assuré, vous devez tenir informer l’assureur de certains changements à votre niveau. En effet, ceux-ci peuvent être sur votre adresse, votre situation de famille, certaines décisions concernant votre contrat. Ainsi, vous aurez une gestion efficace de votre contrat et vous bénéficierez des mises à jour éventuelles.
Pourquoi vous devez investir en assurance-vie ?
D’abord, sachez que c’est un moyen efficace pour placer votre argent. Si d’aventure, votre désire est de réaliser un projet auquel vous tenez ou que vous désirez avoir une glorieuse retraite choisissez l’assurance vie. En effet, c’est le moyen le plus sûr en France et le mieux apprécié de la majorité des Français. Elle a beaucoup de bénéfices profitables à l’assuré en ce qui concerne l’allègement fiscal et une facilité de pouvoir transmettre son gain à sa progéniture. Cependant, celle-ci a des principes qu’il faudra respecter.
Les principes régissant l’assurance vie
Une fois que vous avez souscrit à l’assurance vie, votre assureur prend l’engagement de vous verser sur la base de vos primes une pension étant en si non à vos ayants droits. Avec l’assurance vie vous avez la possibilité d’investir sur une longue période. Vos ayants droits peuvent bénéficier en votre absence de toutes vos cotisations et réduire en même temps certains montants qui y sont associés.
L’assurance vie vous octroi de bons avantages
Votre souscription à l’assurance vie vous offre des avantages sur une longue période en vous permettant d’avoir un bon capital qui vous sera bénéfique. Passé un certain nombre d’années, il vous est possible de prendre tout votre argent investi et même fermer le compte. Cependant, si vous investissez dans des UC vous risquez de perdre toutes vos garanties. L’assurance vie vous permet d’avoir un complément sur votre revenu et cela vous sera très utile une fois que vous serez à la retraite. C’est en effet, un moyen efficace pour léguer ses biens à ses ayants droits suite à une gestion fiscale de qualité offrant de grandes libertés aux ayants droits.
Quelle est la fiscalité de l’assurance vie ?
Si votre produit d’assurance vie est supérieure a une durée de huit années alors vous êtes imposable après une réduction de quatre milles six-cent euros par année. Cette réduction concerne les personnes seules, divorcées ou dont les conjoints sont décédés. Et en ce qui concerne les personnes en couple, ils bénéficient d’une réduction fiscale de neuf mille deux-cent peu importe le jour ou l’heure du versement. Dans cette fiscalité, l’on distingue 2 cas qui sont : En l’absence de tout rachat et à l’occasion d’un rachat. Nous allons décortiquer ces deux points un par un.
En l’absence de tout rachat
Les produits cumulés sur votre contrat d’assurance-vie ne sont pas soumis à l’impôt sur le revenu tant que vous ne réalisez pas un rachat. Toutefois, même en absence de tout rachat, le contrat peut supporter des prélèvements sociaux. La soumission des produits à ces prélèvements sociaux obéit à certaines conditions. Il doit s’agir d’intérêts générés par un contrat d’assurance vie monosupport c’est-à-dire il propose seulement un support en euro. Depuis le premier juillet 2011, il doit s’agir d’intérêts générés par les sommes versées sur les supports de contrats multisupports. C’est-à-dire qui propose des supports d’investissement en unité de compte ou de type euro croissance en plus du fonds en euro. Ces prélèvements sociaux sont précomptés par l’assureur qui les reverse au trésor public lors de l’inscription de l’intérêt au contrat. Le montant total de retenue sociale qui est en vigueur en ce moment, est de 17,2 %.
En cas de rachat
Quand vous faites un rachat en partie ou totalement sur votre assurance-vie, votre capital de rachat n’est pas soumis à la fiscalité. Sauf dans le cas d’une sortie du contrat en rente viagère. Seuls les produits dégagés sont soumis à l’impôt sur le revenu. Dans le cas d’un rachat total, l’imposition a pour assiette la totalité des gains réalisés depuis l’ouverture du contrat. Cette opération met fin au contrat d’assurance vie. Concernant le rachat en partie, l’assiette de produits sur laquelle la fiscalité s’applique, est calculée en fonction de la valeur dudit contrat au prorata de son montant de rachat en partie. Ce rachat en partie ne suspend pas le contrat d’assurance-vie. Il continue de s’exercer et de se valoriser sur la base des capitaux restants.
Comment ces produits sont-ils concrètement imposés ?
La loi des finances pour 2019 est venue apporter quelques changements au régime fiscal de l’assurance vie pour les versements effectués jusqu’au 26 septembre 2018. En cas de rachat, les intérêts attachés aux prîmes qui ont été versées jusqu’au 26 septembre 2018 ; sont imposés au barème de l’impôt sur le revenu ou sur option au prélèvement forfaitaire libératoire de 7,5, 15 ou 35 % selon la durée de votre contrat. A ces prélèvements, s’ajoutent le taux de 17,2 %. Pour les versements effectués à partir du 27 septembre 2018, les intérêts des primes versées sont soumises à un taux forfaitaire d’imposition. Celui-ci dépend de la durée de votre contrat et du montant des primes versées et non rachetées sur l’ensemble de vos contrats d’assurance vie ou de capitalisation au 31 décembre de l’année précédente. Lorsque votre intérêt s’y trouve, vous aurez cependant, la possibilité de faire le choix d’être imposé au barème progressif de l’ISR. Que vous choisissiez le taux forfaitaire ou le barème progressif de l’impôt sur le revenu, l’imposition des produits s’effectue en deux temps. La retenue monétaire est obligatoire d’office et non libératoire de la part de votre assureur lors du rachat. Puis, une régularisation par l’administration l’année suivante qui tiendra compte de l’acompte déjà versé et des abattements si le contrat à plus de 8 ans.
Le montant en euro pour les contrats de moins de 8 ans
Pour les contrats inférieurs à huit ans,le taux forfaitaire est de 12,8 % auquel s’ajoutent des prélèvements sociaux de 17,2 %. Le prélèvement obligatoire effectué par l’assureur sera de 12,8 % sauf en cas de dispense auquel s’ajoute, le montant des prélèvements sociaux.
Taux forfaitaire pour les contrats supérieurs à huit ans
Pour les contrats supérieurs à huit ans, le taux d’imposition forfaitaire diffère selon le montant des primes versées et non achetées au 31 décembre de l’année qui précède le rachat. La part des intérêts correspondants aux primes versées inférieurs à 150 000 euros, bénéficiera d’un taux réduit de 7,5 %. Le surplus sera imposé à 12,8 %. Dans ce cas, le prélèvement obligatoire par l’assureur sera de 7,5 %. Sauf en cas de dispense auquel s’ajoute le montant des prélèvements sociaux et le complément réalisé par l’administration fiscale l’année suivante. Le contribuable garde la possibilité lors de sa déclaration de revenu d’opter globalement pour l’imposition au barème progressif. C’est une option qui est effectuée surtout les prélèvements de votre capital et est inchangeable sur toute l’année.
Bénéficiez de l’assistance de nos conseillers en assurance vie
Si vous n’avez pas de conseiller, nous vous conseillons le nôtre avec une expérience indiscutable dans le domaine de l’assurance-vie. Avec le conseiller que nous vous donnons, une réflexion peut être menée afin de déterminer, quelle option vous sera la plus favorable. Par ailleurs, les contrats de plus de huit ans bénéficient d’un abattement annuel de 4600 euros pour un célibataire ou de 9200 euros pour un couple. Cet abattement est annuel et vaut pour l’ensemble des produits des produits imposables des contrats d’assurance-vie et de capitalisation du foyer fiscal. C’est l’administration fiscal qui contrôle et fixe ces abattements par ordre de priorité.
Découvrez les cas où les produits dégagés sont non imposables
Exceptionnellement, dans certaines situations difficiles affectant un assuré ou affectant son conjoint ou son partenaire de pacs, les produits sont exonérés d’impôt sur le revenu. C’est le cas lorsque le rachat total du contrat est effectué avant la fin de l’année qui celle au cours de laquelle l’un des évènements suivants c’est produit : Un licenciement, une mise à la retraite anticipée, une situation d’invalidité de 2ème ou 3ème catégorie de la sécurité sociale, une cessation des activités non salariée consécutives à un jugement de liquidation judiciaire.
Pour terminer nos propos, il convient de vous informer que le contrat d’assurance vie vous offre une panoplie d’avantages pour votre bien être tout le long de votre vie. Il vous assure non seulement mais prend en compte les membres de votre famille communément appelés les ayants droit. Souscrivez au contrat d’assurance-vie pour une mise à l’abri de vos parents, pour votre sécurité et celle de vos actifs et passifs.